Hier, mardi 15 mars 2016, le Conseil Municipal a débattu
sur le rapport d’observations définitives et des réponse(s) à la Chambre Régionale des Comptes (C.R.C.) concernant les années
2010 et suivantes.
C'est-à-dire, la gestion de Monsieur Dalm et de sa
majorité du 1er janvier 2010 au 4 avril 2014 inclus et de Monsieur
Tauzin et de sa majorité du 5 avril 2014 au 31 décembre 2014.
Ce rapport étant devenu public depuis mercredi 16 mars,
vous pouvez le consulter à la mairie conformément aux dispositions de la loi N°
78-753.
Néanmoins, afin de vulgariser le langage
« diplomatique » de l’administration des finances, j’ai photographié
les paragraphes que j’ai jugés les plus
importants et que je commente en quelques mots simples :
Monsieur Dalm a volontairement mélangé les genres. Un
seul exemple la défunte « Salle Cap Forme » pour laquelle les
contribuables payaient 2 salariés (budget de la commune) pour un par les
usagers. Déficit minimum 600 000 € pris en charge par le budget communal.
Tout cela pour faire de la démago pour être réélu.
Monsieur Tauzin réduit les dépenses en 2015 et la C.R.C.
susurre, une première fois, qu’il y a la possibilité d’augmenter les impôts
locaux.
On oubliait des sommes pour alléger le passif
Le point 9 est à commenter : contenir le recours à
l’emprunt.
En clair, seulement de l’entretien ne pourra être réalisé
jusqu’en 2020 ou 2022 sauf relancer l’endettement et/ou augmenter les impôts.
Le 9 février 2016, Monsieur Dalm n’avait pas répondu au
courrier du 25 août 2015 formulant les observations provisoires. Je vous laisse faire les commentaires en
famille mais avant vous pouvez questionner Monsieur Lafargue, il a dit qu’il
savait.
Retards répétitifs pour payer les factures aux
entreprises. Pourquoi ? Tout simplement par manque de trésorerie. Vous
vous rappelez tous, dans ce blog, les « barricots » des divers
services et le robinet unique du percepteur.
Dommage que tout cela ne fut pas réalisé au fur et à
mesure de l’évolution de la législation et des observations du Trésor Public et
des fonctionnaires pourtant parfois très spécialisés. Ont-ils prévenu l’ordonnateur
par écrit et ont-ils, comme je le faisais garder leurs notes, dans leurs
archives personnelles.
Cette fois, ce ne sont pas les « emmerdeurs »
de l’opposition de 2008 à 2014 qui le disent mais le percepteur, le cabinet d’audit
et maintenant le juge financier et enfin
vous nous croirez.
Citoyens, il faudra sûrement un jour faire de nouveaux
trous à vos ceintures !
En conclusion, la C.R.C. suggère, une seconde fois,
d’augmenter les impôts locaux.
Monsieur Dalm fut la cigale !
L’héritage plombé, l’Etat et la situation économique
toujours aussi mauvaise (uniquement en France gouvernement bègue, oblige)
imposent à Messieurs Tauzin, Choulet et à la majorité municipale de devenir
fourmis sans provisions à mettre de côté. Les bijoux de famille ont été vendus
par Monsieur Dalm : Montadour, Gendarmerie.
En droit privé, on peut refuser un héritage mais pas en
droit public, il faudra assumer… et pour
longtemps.